J188 : j’atteins Huaraz

Mercredi 27 juillet 2011

Aeroport de Huaraz – Huaraz

Mercredi 27 juillet 2011

Bivouac en face de l’aéroport de Huaraz – Huaraz

Distance parcourue : 26,03 km

Vmoy : 8,5 km/h Vmax : interférences électromagnétiques

Température : minima : 5°, maxima : 36°
Dénivelée positif : 360 m
Dénivelée négatif : 122 m
Heures sur le vélo : 3H01’59 »
Départ : je sais plus
Arrivée : vers 12 heures

Résumé de la journée

  • Conditions météorologiques : soleil
  • Objectif : Huaraz
  • Etat de santé : bon
  • Particularités de la journée: gransdbeau temps, j’atteinds Huaraz, j’ai ma petite idée derrière la tête

Article écrit engrand décalé, chouette, chouette pour mes lecteurs, cela va être
plus court :

Il a gelé cette nuit, la température a été de 5° dans la tente.

Bon bien j’ai pédalé sous le soleil et ça montait…

Arrivée à Huaraz je cherche un magasin de motos pour  acheter un filet pour retenir mes bagages, je passe donc dans un quartier très excentré de
Huaraz, je retrouve les autrichiens qui sont partis pour le tour du
monde, je ne me sens pas très bien, nausées, cela passera en fin de
journée.

La recherche de chambre d’hôtel est extrêmement difficile, tout est retenu pour la fête nationale, en plus ils ont multiplié les prix par quatre. Je finis par en trouver une, sans douche mais WC et surtout fenêtre, cela m’aura pris plus de 2 heures et les autrichiens ont eu la même difficulté et chez les pompiers ce n’est pas possible (oui Jean-Luc, Equateur et Perou, les pompiers)

J’ai ma petite idée d’ascension derrière la tête car cette Cordillère qui me
nargue depuis plusieurs jours, elle ne va plus me narguer longtemps…Et l’après-midi je commence les préparatifs, recherche de vêtements chauds. Je sais que la température descend très bas là-haut, moins 20°, moins 30°, et en plus il fait particulièrement froid en ce moment et le temps est superbe, grand, grand ciel bleu.
Je vais trouver une super polaire, mais rien de plus, ni anorak ni sur-pantalon. . Ils ont des choses, mais pas toutes les tailles, sur-pantalons ils n’ont pas. Depuis ma polaire je l’apprécie un max dans tous les altiplanos et dans les cols à 5000, c’est une marmotte et ce n’a pas l’air d’être une copie.

Je suis encore tentée par un échange…

Je contacte une agence d’expédition, un peu au hasard, elle était sur mon chemin quand je cherchais la maison des guides et le magasin spécialisé en vêtements techniques. Voilà je dis à l’agence que je vais passer le lendemain pour confirmer et avec mon matos (chaussures, tente, sac à dos, duvet, etc) pour voir si tout est ok).

Non, je ne suis pas devenue folle, je ne vais pas dormir dans ma tente après avoir cherché deux heures une chambre d’hôtel. J’ai un problème technique avec ma tente je ne peux plus rentrer l’arceau central dans l’oeillet, là j’étudie et tente de résoudre le problème, Daniel me dira que ça vient du fait qu’au fond ça ne va pas au bout, l’autre jour elle était mouillée, c’est rentré tout seul, c’est compliqué, quand ça gèle dehors je ne peux mouiller la tente pour pouvoir la monter. Décidemment avec tous les produits Vaude j’ai des problèmes…

Je crois bien qu’ayant découvert la place à touristes expéditeurs et trekkeurs je me suis payé un resto touristique. J’achète aussi bonnet en laine que je mets par-dessus mon bandeau polaire et grosses chaussettes de laine pour la nuit, vu qu’à 3000 je caille dans ma tente, je me dis qu’à 4800 ça ne va pas être triste, je ne pourrai mettre les chaussettes, elles grattent trop, et puis pour les nuits où ça gèle dur j’ai trouvé une autre technique, je fais des échafaudages de polaire dans et sur le duvet et je dors les pieds au fond de la tente, et ça va.

Voilà, belle journée

Bisous tout le monde

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