Mardi 3 janvier 2012
Taltal – Taltal
Kilométrage : 49,94 km
Heures sur le (ou à coté du) vélo : 3h47’01′
Vmoy : 13,1 km/h Vmax : 35,9 km/h
Températures : min : 64°F, max : 93°Fmètres
Départ : 9h
Arrivée : vers 14h
Je voulais aller en bus à Paposa pour faire la côte que je n’ai pas faite, une des employées de l’hôtel m’a conseillé de faire d’abord un peu de vélo autour de la ville. Alors je me suis dit que j’allais partir de l’hôtel, comme cela si ça n’allait pas ce serait plus facile de rentrer…
Le test il n’est pas tout à fait grandeur nature, car je n’ai pas pris tout mon barda, non juste une sacoche avec de quoi me couvrir et un pique-nique.
Alors le vélo
(comme ça les cyclos vous n’êtes pas obligés de lire le reste) :
J’ai eu la très mauvaise idée de demander au réparateur de vélos de Calama, de changer le câble du changement de plateaux et de faire une révision du reste. D’abord il a oublié de passer le câble dans un trou et pour le reste c’est la cata. J’ai revu un magasin de vélo à Antafogasta, qui a repassé le câble dans le trou oublié et vérifié les tensions des câbles. Maintenant j’ai un bruit pas possible (hihihi, glin glin gllin non pas AAA) qui ne cesse que soit quand je suis sur le grand plateau, soit quand je suis sur le grand pignon. Le bruit le plus fort étant quand je suis sur le moyen plateau.
Une fois j’ai eu beaucoup de mal à passer sur le moyen plateau
J’ai bien observé le tout. D’abord le câble du changement de plateau a déjà un fil qui s’effiloche (et une fois un seul film abîmé m’a empêché de changer de plateau). Il me semble que le bruit vient de la chaîne qui frotte contre ce que moi j’appelais un dérive chaîne mais qu’on m’a dit que cela ne portait pas ce nom, le truc qui sert à faire changer la chaîne de plateau. J’espère que tout va tenir jusque Mendoza, allez, vos avis amis cyclos, diagnostic, conduite à tenir, pronostic, merci d’avance. Et ne faites pas comme les petits malins qui me disent la vis un quart de tour à gauche, un quart de tour à droite (en me regardant dédaigneusement) parce que n’étant pas complètement idiote, quand on m’explique les choses correctement je comprends, et Christophe un cyclo (un belge tiens) rencontré à la Paz m’a tout montré, en fait les vis servent à monter (ou descendre) une butée pour empêcher la chaîne de dérailler soit par le haut, soit par le bas, même chose pour les plateaux que pour les pignons, donc si la chaîne ne déraille pas, inutile et même déconseillé d’y toucher. Voilà, la chaîne ne déraille pas, donc ce n’est pas ça. Après Christophe m’ a montré que c’était une histoire de réglages de câble, d’abord avec l’espèce de boulon, il m’ a montré la tension qu’il fallait au câble, puis après on règle avec la mollette au guidon, moi la mollette au guidon j’ai l’impression que ça ne fait rien , en fait sur le bruit ça ne fait rien. S’agit-il d’un problème de câble ? Jusqu’à présent mes problèmes de changements de vitesse étaient dus à ça. Le magasin de Calama m’a dit que les câbles du Chili n’étaient pas de meilleure qualité que ceux du Pérou, c’est-à-dire qu’ils sont mauvais. En fait je vois bien que quand la chaîne est éloignée de ce « dérive chaine » je n’ai pas de bruit sinon je l’ai.
Voilà je suis dubitative et inquiète.
La cyclo
Alors j’étais morte de trouille avant de remonter sur mon vélo et de plus, (les cyclos connaissent ça), quand on n’est pas chargé, les cinq à dix premières minutes on tangue dur…
Et puis tout a bien été, au-début je n’osais me servir de mon cale-pied , puis c’est revenu, la souffrance du pied est très supportable, finalement le genou me fait plus souffrir et là à froid j’ai très mal au genou, ça repartira demain à chaud…
Et donc j’ai fait une superbe balade (de 50km quand même)…
Côte ou pas les chiliens continuent de mépriser les virages…
J’eusse aimé vous dire que le ciel était d’un bleu électrique, que les vagues furieuses partaient à l’assaut de récifs ciselés, ourlés de blanc par le guano des oiseaux, non, la mer était d’huile et le ciel blanc laiteux …
Quand même c’est pas mal…
Voire très beau…
La route depuis Caracas est ponctuée de tombes, j’eusse préféré penser que c’était juste une coutume de se faire enterrer au bord de la route…
La route monte et descend, j’appuie fort sur les pédales, je vois que je n’ai pas perdu tous mes muscles, et y a pas sans chargement c’est plus facile, je me surprends à monter des côtes à 20 à l’heure…
Au sommet d’une côte, je ne suis pas à 20 à l’heure mais seulement un peu plus de 8 (la côte était raide), je suis bien sur ma brema, deux camions blancs comme celui qui m’a jetée par terre me doublent, il n’y a pas de vent, et je sens le trou d’air. En fait ces camions prévus pour transporter un grand volume déplacent un énorme volume d’air, amis cyclos méfiez-vous d’eux…
Un pique-nique sur la plage me permettra de vérifier que l’eau est froide, non je fais pas trempette, juste j’observe deux baigneurs qui hésitent longtemps avant de plonger et qui sautillent pour éviter le froid de la vague…
Une piste cyclable non entrenue ( donc jonchée de graviers, pierres, sable et morceaux de verre) relie les plages à Taltal.
Au loin Taltal
S’étale
Offrant son hôpital
A la cyclo qui a mal…
Reconnaissez que là j’ai fait fort…
Demain la route, la vraie, avec mes milliers de bagages, ne sachant où je vais dormir, où je vais trouver à manger et à boire, objectif Chanaral (en 1, 2 ou 3 jours, ça dépend du vent)… Mais la route c’est ça aussi, bisous tout le monde
Il m’est arrivé d’avoir une fois ce problème parce qu’un petit caillou s’était glissé entre le dérive chaîne (comme tu dis) et je ne sais pas quoi.
C’est en retournant mon vélo que j’ai vu le caillou tomber.
Sinon, si cela vient bien du dérive-chaîne, je suppose qu’il te faudra tendre où détendre ton câble.
Difficile à dire sans être à côté du vélo.
Je vais retrourner
Pars plus tôt au Pérou, rattrape-moi les super-interviewers ont mis 3 mois… Pour toi 2 suffiront… T’as le temps de faire l’aller-retour et d’être à l’heure à ton rendez-vous…
Sinon, si tu as un peu de temps, lis ceci :
http://velo-reparation.fr/entretien/derailleur_reglage_avant.php
Merci, c’est super intéressant ton truc, mais ils ne parlent pas du bruit…
Deux articles rassurants sur ta santé après ces journées de repos. Je suis très content de lire ces lignes, tu vas pouvoir continuer avec des batteries chargées au maximum de lithium.
Pour ton vélo Françoise, c’est très difficile de diagnostiquer si on n’est pas accroupi à côté de la machine pour y voir ET pour entendre très finement. Peut-être, je dis bien peut-être que le « guide-chaîne » a bougé lorsque tu as chuté auquel cas la chaîne frotte selon la position du dérailleur. S’il est tordu, (ça peut se voir) tu peux le redresser très délicatement.
Pas facile encore une fois de diagnostiquer les bruits si on n’a pas les yeux et les oreilles vissés au vélo.
Tu vas finir par trouver la solution je n’en doute pas et après tout, ces bruits ne sont peut-être pas alarmants.
Je crois avoir lu ces jours derniers que tu repartais aujourd’hui. A très vite donc sur le prochain article.
Qu’est-ce que c’est bien de repartir sur sa bécanne après des jours de diète ! C’est un vrai bonheur.
Bises à toi et que la chance te protège.
moi j’sais pas , tu connais mes qualités de bricoleuse !!!( t’es sure qu’a force de tout titiller ?tu ‘as pas oublié une piéce dans les cailloux de tes déserts ???)
jm’edis qu’ta bien du courage !!!
en attendant ici ,je m’éclate aux bx arts à Lorient , et à Luc en Dios l’atelier progresse à vue d’oeil !!!
j’y serai en Mars !! et toi ? seras tu rentrée dans ton igloo?
en attendant profites bien de toutes ces belles et étonnates régions que tu traverses !!
je t’embrasse bien ,kénavo
Tout a était dit, sur les possibilités de réparation de ton vélo !
Toi seule peut comprendre d’où vient et pourquoi ce bruit .
Ton orteil te fera mal encore longtemps car c’est assez long la guérisson de ces petites
choses, mais tu es médecin tu connais les choses. Quand on les vit en souffrance ces autres
choses on est patients!!!!!!
Tu vas vers les beaux jours, non, alors le vent va t’oublié, garde toujours un oeil
derrière toi;
Bisous, de mon petit village en forme de fer à cheval.
Bonjour Françoise et content que ta santé se »pétasse »…même si le vélo se dégrade. Il vaut mieux cela que l’inverse!
Randonnant depuis + de 50 ans, j’ai eu l’occasion d’avoir des enquiquinements de plateaux: Il peut s’agir de pb de butées, mais c’est tres facile à régler (les 2 petites vis). Il peut s’agir de tension du cable, mais c’est assez facile à régler avec la mollette qui est vers la poignée (ou au pire en desserant le serre cable en bas et reregler à la bonne longueur). MAIS apparemment le gars t’as tripoté le mécanisme en bas et a du le déplacer. ça ,c’est + difficile à regler: D’abord, la piece qui pousse la chaine vers la droite ou la gauche ne s’appelle pas 1 derive chaîne mais la »fourchette » du mécanisme. Le dérive chaîne, c’est le petit outil qui te sert a demonter et remonter 1 maillon de la chaîne. Dis le à Enzo pour qu’il progresse en vocabulaire franco-cycliste!
Alors le probleme est possiblement du déplacement du mécanisme bas de ton changement de plateau. Il est fixé au cadre par 1 collier (vis Allen en général). Il faut LEGEREMENT faire monter ou descendre tout ce dispositif apres avoir dévissé cette vis. Mais c’est 1 reglage 1 peu pointu à faire. Si tu croises 1 cyclo aguerri-sympa, il va passer 1 heure pour te régler cela. Sinon, tente le coup, mais souvent il faut rerégler le serre cable du bas pour liberer 1 peu le mecanisme et pouvoir le déplacer. Pour faire cela mets imperativement ton vélo »tête en bas » et d’abord regarde bien d’ou vient ce bruit. Si c’est bien la fourchette (ce que je crois), rouler ainsi n’abime pas beaucoup le materiel (petite usure laterale de la chaîne) et tu peux sans pb envisager des 100aines de km ainsi…la gêne sera surtout le bruit et quelques fois la difficulté à changer de plateau.
bise et bon courage. André C.
Oh là là ça devient XXXX votre truc, entre les tripotages, les mecs qui ratent le trou, les positions la tête en bas, et ça monte et ça descend, la tension…
Je lis tes mésaventures. Tout d’abord je te souhaite un bon rétablissement et j’espère que tu va arranger ton vélo. Dans les réponses que te donne un certain nombre de personnes il y a d’aprés moi la solution. Les 2 vis de butées que te parle certains servent uniquement à ce que la chaine ne déraille pas du petit ou du grand plateau. Le bruit vient en principe de la chaine qui touche le coté du guide du dérailleur. Pour ça il faut comme on te le dit aussi c’est d’agir sur la tension du cable avec une petite mollette qui se trouve en principe au départ de la gaine au niveau du levier de frein ou sur certainss vélos à l’arrivée du cable sur le collier derriére le tube vertical. Cette molette il faut la tourner dans un sens ou dans l’autre. Pour ce réglage il faut penser à mettre le dérailleur avant sur le plateau du milieu et le dérailleur arrière sur le gros pignon. Ensuite si tu n’arrive pas à le régler comme ça, c’est qu’éffectivement ton dérailleur avant à put se tordre ou se déplacer dans ta chûte, également la pate du dérailleur arrière peut être aussi tordue. Tu dis souvent rencontrer des cyclos aventuriers alors j’espère que tu en rencontrera sous peu afin de te faire dépanner. Normalement, je sais bien que le bruit n’est pas agréable, mais si tu ne trouve pas que tu force anormalement tu peut rouler quand même quelques jours. Je ne peut rien de plus pour toi car comme t’a dit quelqu’un, à Die, on est un peu Français moyen et on est donc limité. Bisous, retappe toi bien, et bon courage afin que tu finisse ton périple comme tu l’avait prévu. Encore félicitation pour ce que tu fait.
Charly du groupe vélo des ours.
Merci Charly de toutes ces explications, je crois que je vais devenir experte en mécanique vélo… Comme je le disais j’ai rencontré un hôtelier qui en grand secret m’a tout remis d’aplomb, m’ a offert un casque qui me va super bien et ce n’est pas parce qu’on est français moyen qu’on est limité, et moi je pense que tous les diois ne sont justement pas français moyen, tous les diois ont quelque chose dans les yeux que beaucoup de gens n’ont pas, la lumière du soleil couchant sur le ????? (voilà que mes neurones me jouent des tours et impossible de mettre un nom sur la montagne la plus haute du diois, les ours, à l’aide) peut-être ? Bisous à toi,et à tous les ours qu’ils soient cyclistes, marcheurs ou les deux, diois de souche ou de choix, à temps complet ou partiel… Sinon je vais bien, j’ai la forme, le moral et tout et tout… Et des lumières dans les yeux
Bien lu et relu ton aventure Chilienne; Vas-tu revenir en pièces détachées ??? Heureusement que ton séjour forcé s’est passé dans cette jolie ville de Taltal! A ce sujet je ne sais si ce n’est ton histoire assortie de photos qui l’illustrent vraiment – qui mérite le plus d’éloges au moins pour l’effort supplémentaire que celà t’impose , que tes accidents et la gougeatrie des chauffeurs de camions : des sauvages dans un pays sauvage!! Quant à nous c’est le banal des fêtes de fin d’année passées au bord de la grande bleue à Cannes avec un ancien collègue. Programme très classique avec toutefois 4 randos dans l’Estérel et dans l’Ile de Leirins! La montagne et le beau temps quasi permanent ne nous a pas fait oublier notre Diois ! Bonne fin de traversée avec pas trop de dommages pour la cycliste! Quant aux bruits de chaînes signalés, il n’y a pas besoin d’être au bout du monde pour en avoir désagrément et incompréhension de ce qu’il faut faire pour arranger celà!!! Bon courage et bises des GOD’s
Plein de commentaires m’ont échappé, d’où réponse tardive, pour le vélo j’ai trouvé sur mon chemin un bon samaritain qui a remis tout en place, c’est merveilleux… Et vous disiez ne pas avoir vus les salars, ils sont en ligne, je vais rechercher et vous envoyer un lien, bisous à tous les deux
coucou Babouchka!
reçois tu les mails et photos que je t ‘ envoie ?
biz
Je découvre ton commentaire aujourd’hui ou j’ai oublié (mes neurones perdus en altitude et avec les années), je n’ai rien reçu depuis longtemps
mille bisous à tous et j’attends des photos
Avec tous les conseils avisés des mécanos, tu vas surement trouver la solution. La route côtière est superbe, le goudron est surement plus reposant pour toi et celui qui te transporte. Allez Bon vent à tous les deux. Bisous
Pour le bruit du vélo, deux solution: les boules quies ou l’ ipod!
Bonne route! et bises d’Annecy
avec un s à deux solutionS !
Wouawwww !!!!
Tu as vu le nombre de messages !!!!!
Il faudrait que tu mettes que tu as un problème technique à chaque article 🙂
En Argentine, à San Juan, il y a des tas de vélocistes et mécano très compétents.
Kissssssss !
Et je rajoute pour les inquiets perpétuelles dont je fait partie : ne paniquez pas si vous n’avez plus de nouvelles de la gamina pendant dix jours… quoi que… à Coipiaco…
bonjour F,
j’ai repensé à ton pb de vélo et te fais 1 petit addendum au message precedent:
tu dis que tu as essayé de régler la mollette qui est contre la poignée de changement des plateaux et que « ça ne fait rien ». Je te rappelle que tourner seulement cette mini-mollette plastique (ou metal) ne sert à rien. Il faut tirer un peu sur cette mollette (en l’éloignant de la poignée; il y a 1 petit ressort à l’interieur de cette mollette) et la tourner en position tirée puis la relacher à la fin de l’operation.
Cette mollette ne sert qu’a retendre ou détendre le cable (mais ceci de façon assez limitée) sans avoir a le retendre du bas ce qui est + compliqué. Toutefois si tu dois le détendre ou retendre beaucoup ça ne suffit pas et c’est alors en bas que tu auras la solution.
En ce qui concerne les 2 petites vis de butée sur le mécanisme du bas, il y en a 1 pour la butée vers l’exterieur et l’autre pour la butée vers l’interieur. Pour les regler, tu te mets sur petit plateau et grand pignon et tu règle la butée interieure de la fourchette (celle la bloquant du coté du cadre du vélo). Ensuite tu te mets sur grand plateau et petit pignon et tu règles la butée exterieure de la fourchette (celle qui bloque lorsque cette fourchette est la + éloignée du cadre).
Ces 2 causes peuvent etre à l’origine de bruits de frottements (fourchette contre chaîne);
Mais il y a le risque que ce « réparateur » en te tripotant le systeme t’ai déréglé le mécanisme du bas (ou que ce soit accidentel suite à ta chute). Il faut d’abord que la fourchette soit bien parallele à la chaîne. Ensuite si tu regardes l’ interieur de la fourchette, tu noteras qu’il y a des differences de largeur selon le niveau. Et c’est la que ça se corse car il faut en remontant ou descendant ce mécanisme arriver a ce que tout passe sans bruit.
Il est certain qu’il est + facile de le faire que d’expliquer comment le faire. Au cas ou tu n’y arriverais pas tu vas forcement trouver 1 cyclo (ce sont en général de bonnes âmes) qui va t’aider. Dans tous les cas (comme te l’as dit 1 de tes amis ci dessus) si tu n’as pas à forcer plus en pédalant, mais que ça « feraille » un peu, ce n’est pas grave, tu peux continuer ta route.
bise André
bonne annee
bon maintenant je sais quelle route tu as prise. et je suppose que tu vas continuer pa la cote.
pour linfo la route de antofagosta a paposa le long de la mer na jamais ete finie, et la partie construite a sombree dans la mer.
taltal cest le port le plus profond du monde, 7000 m tout de meme.
pour la route de la cote elle est possible jusqua la ville apres copoipo. apres jusqua la serena cest la panam, a part un detour par un parc.
et apres la serena je te conseille la route des 5 tunnels, celle de linterieur, par illapel, etc. apres tu rejoins la cote. cest plus dur, ca grimpe fort ett il y a des parties de ripio, mais cest tellement beau. pour passer les tunnels il faut attendre une voiture et demander quelle te suive en illuminant le passage avec ses phares, bon il y a un tunnel avec de leau, le meiux est de se faire transporter. et le dernier tunnel il faut faire prevenir par une voiture son passage, pour quil fasse atienter les voitures dans lautre sens jusqua ta sortie, parce quil y a un fu rouge, et vraiment une seule voie.
tu peux trouver ca sur mon site, mais comme dhab tu prefereas te debrouiller toute seule.
content de voir que tu repars et bonne chance pierre
Le vélo que j’avais aux Guibertes n’avait pas de dérailleur, cela simplifiait l’entretien et les révisions. Son problème était aussi que le guidon ne tenait pas en place, ce qui m’avait valu une sortie de route en descendant du Lautaret !
Bon courage pour la suite.
ATTENTION: il y a un paquet de voitures, motos et camions qui te rattrapent (et qui font beaucoup plus de bruit que ton dérailleur) !
Voir http://www.dakar.com/dakar/2012/fr/parcours.html
Javoue être un peu perdu… je croyais que tu étais en convalescence moi… Mais non tu es déjà sur la piste, tu ne finiras pas de nous étonner.