L’Equateur

Pays du nord-ouest de l’Amérique du Sud, l’Equateur est un des plus petits pays du continent.

Bordé à la fois par :
– la Colombie au nord-est,
– le Pérou à l’est
– l’océan Pacifique à l’ouest.

Superficie : 72 045 km2

Population : 1,7 million habitants

Arrivée à Quito : trouver un hôtel pas cher ou loger dans une famille cyclo, il faut que j’étudie la question, préfère un hôtel pas cher pour me laisser reprendre mes esprits avant immersion totale dans le pays…

Visite de la ville, attente des bagages ( oui, c’est courant) et acclimatation pendant 3 à 4 jours, voire un peu plus.

Un peu de pédalage dans la ville, histoire de ne pas perdre l’entraînement, ce qui chez moi est (presque) une question de vie ou de mort…

Montée (en téléphérique) à un des deux sommets du volcan Pichincha, le Cruz Loma à une altitude d’environ 4000, puis poursuite à pied jusqu’au sommet du Rucu Pichincha (4794m), là encore pas d’inquiétude le sentier est balisé et il y a un bar à oxygène au sommet, savais pas que ça existait ces trucs-là, vais essayer rien que pour le fun… Mais si c’est au sommet, va quand même falloir monter sans…Et rappelle-toi Françoise, malgré les milliers de plus de 3000 que tu as derrière toi et les 3 plus de 4000 ( Dôme de neige des Ecrins, Mont Blanc et Toubkal) et bien au lac Titicaca, t’as eu un mal des montagnes carabiné ( maux de tête, mal à la nuque, vomissements et pas bien, pas bien du tout et la tisane de feuille de coca n’y a rien fait…) Faut dire que passer en 48 heures de 0 à plus de 4000 mètres c’est pas vraiment top…

Puis destination « El Munta del Mundo », rien d’exaltant paraît-il, mais un pied dans l’hémisphère nord, un dans l’hémisphère sud, quand même c’est pas tous les jours…Sauf que si suis acclimatée à l’altitude, c’est un bête de redescendre tout de suite, vais voir si les volcans au nord sont ou pas en éruption, j’aimerai bien voir un volcan en éruption, mais si c’est juste pour respirer les vapeurs toxiques, c’est pas la peine…

Puis 2 options : soit rester dans les Andes et remonter vers le Nord (suis sûre que ceux qui me lisent se disent si elle commence par remonter vers le Nord l’est pas encore arrivée à Ushuaïa, mais l’ai dit et redit, voudrais juste arriver à Ushaïa à la bonne saison, soit descendre et aller voir la jungle, la mer, les moustiques et les serpents.

Vais demander conseil au spécialiste cyclo de l’Amérique du Sud.

Voici les recommandations du gouvernement et en italique mes commentaires :
(Source : site du gouvernement, recommandations aux voyageurs)
Dernière mise à jour : le 6 octobre 2010

La situation en Equateur tend à se normaliser. ( Ma fille sois donc rassurée)L’état d’exception est prolongé jusqu’au vendredi 8 octobre 2010 à minuit (heure locale). Le gouvernement a cependant décidé le 9 octobre 2010 de prolonger l’état d’exception, à Quito uniquement, pour une durée indéterminée. Les voyages en Equateur sont à nouveau possibles sous réserve d’une stricte application des recommandations de sécurité de l’ambassade de France à Quito : il convient notamment de se tenir à l’écart de toute manifestation, de circuler muni d’un document d’identité et de ne pas se déplacer de nuit. Il est recommandé, avant tout déplacement en province, de se signaler à l’ambassade en fournissant ses coordonnées et copie de l’itinéraire que l’on prévoit d’emprunter (00 593 2 294 38 00).

Là c’est pas possible d’abord risque de changer d’avis, ensuite de me perdre…

Les transports aériens et terrestres fonctionnent normalement. Les frontières terrestres avec le Pérou et la Colombie sont rouvertes.

Donc cool cool

On note un regain d’activité de trois volcans en Équateur depuis mai 2010 :
1-Le volcan Reventador, situé à 90 km au nord-est de Quito, est entré dans une nouvelle phase éruptive dans la matinée du mardi 28 septembre 2010. Une colonne de vapeur et de cendres a été observée jusqu’à une altitude de 1 km au dessus du cratère. L’Institut de géophysique équatorien évalue l’activité du volcan comme modérée. Il est recommandé de ne pas entreprendre l’ascension de ce volcan. Une coulée de boue avait auparavant endommagé plusieurs ponts sur l’axe routier Baeza-Lago Agrio et il est donc formellement recommandé de ne pas emprunter l’axe Quito-Baeza-Lago Agrio.

Me renseignerai sur place, vu que sur ma carte impossible de trouver ce volcan

2-Le volcan Tungurahua, situé à 140 km au sud de Quito et à proximité de la ville touristique de Banos est entré en éruption le 28 mai 2010. Une violente explosion est intervenue le 17 juin 2010 obligeant les autorités locales à évacuer les villages situés sur les flancs du volcan. Son activité demeure particulièrement imprévisible. Il est donc recommandé de se renseigner auprès de l’ambassade de France et de l’Institut de géophysique équatorien (cliquez ici) avant de se rendre dans la région de Banos. L’ascension du volcan est strictement déconseillée.

3-Des fumerolles s’échappent du volcan Cotopaxi, situé à 60 km au sud de Quito. Selon les autorités locales, ces fumerolles ne sont pas révélatrices d’une hausse de l’activité de ce volcan.

La délinquance violente a augmenté brutalement en Equateur. En cas d’agression à main armée, il convient absolument de ne pas opposer de résistance ni de regarder les agresseurs dans les yeux. Il est enfin recommandé de verrouiller les portes et les fenêtres lorsque vous circulez en voiture.

Et en vélo on fait comment ?

La ville de Vilcabamba, située dans le sud de l’Equateur (province de Loja), connaît une hausse importante de la criminalité (agressions à main armée) contre les résidents étrangers et les nationaux. Il est donc recommandé d’éviter cette destination.

Sécurité

Les voyages sont déconseillés dans la région frontalière avec la Colombie, sauf pour raison professionnelle impérative.

Parce que pour le boulot on a le droit de se faire trucider…

Pour obtenir plus d’informations concernant la Colombie, notamment les provinces frontalières avec l’Equateur, il est suggéré de consulter la fiche  » conseils aux voyageurs  » relative à la Colombie.

C’est fait, ai décidé de zapper la Colombie, sauf que ça me redémange d’y aller…

Les autres régions de l’Equateur sont accessibles. Toutefois, le niveau de la délinquance impose partout une vigilance constante face aux risques de vol et d’agression.

Délinquance / criminalité / agressions

De nombreux touristes français ont été agressés dans des bus de nuit circulant sur la « route du soleil » (ruta del sol) à partir de Guayaquil. Il est donc recommandé de ne pas emprunter ce moyen de circulation la nuit en Equateur. En cas d’attaque, il convient de ne jamais regarder les agresseurs dans les yeux et d’obtempérer à leurs ordres sans tenter de résister.
Le nombre d’enlèvements express à Guayaquil est estimé par la police locale à un toutes le neuf heures. Il est donc déconseillé de prendre un taxi dans la rue

No blème, circule en vélo

il convient de le faire appeler par l’hôtel ou le restaurant et de noter sa plaque d’immatriculation.
Des attaques à main armée dirigées contre des véhicules particuliers et des autobus touristiques, notamment dans la région côtière (province de Manabi), ont été enregistrées en 2006 et 2007. Il est conseillé de n’opposer aucune résistance aux agresseurs.
L’agression dite « Saca Pinta » consiste à agresser à la sortie d’une banque un touriste venant d’effectuer un retrait. Les malfaiteurs sont prévenus par un complice pouvant être un employé de la banque ou un client faisant la queue. En cas d’agression à main armée, il est absolument recommandé de ne pas tenter de résister.

Plusieurs ambassades de l’Union européenne notent une augmentation des viols avec usage de la scopolamine communément appelés « drogue du violeur ». C’est un parasympathicolytique, similaire à l’atropine mais également sédatif central. Elle provoque en outre d’intenses hallucinations délirantes, de l’amnésie (amnésie lacunaire antérograde) et des pertes de conscience.
De manière générale, il est recommandé de :

Circuler avec peu d’argent et une copie de son passeport, et ne pas résister en cas d’agression ;
Eviter absolument de circuler de nuit, en véhicule particulier comme dans les transports en commun: les autobus inter-provinciaux sont régulièrement rackettés par des bandes de malfaiteurs qui n’hésitent pas à faire usage de leurs armes sur les passagers ;
Redoubler de prudence au volant, la signalisation étant pratiquement inexistante ;
Surveiller ses bagages dans les transports en commun et les aéroports ;
Etre prudent lors de rencontres dans les bars, les discothèques (là j’y vais pas, aucun risque)et les lieux publics, ne pas accepter de cigarette ou de boisson offerte par un inconnu. Une pratique tend en effet à se répandre, consistant à droguer des touristes au moyen d’une poudre à l’effet anesthésiant connue sous le nom de  » scopolamine  » (qui peut être diffusée par bombe aérosol, versée dans les boissons, contenue dans des cigarettes, ou même dans des dépliants publicitaires) pour ensuite les dévaliser. Des cas de viols ont été signalés.
Ne jamais faire de camping sauvage.

Là je peux rien promettre, si suis nase et pas d’autres solutions, je campe

En cas de vol ou de perte d’objets ou de documents personnels :
Faire, dans les plus brefs délais, une déclaration auprès du Bureau de Police le plus proche ;
Pendant les heures de service

parce qu’en dehors tu peux crever…

se rendre à l’Ambassade de France, section consulaire pour l’établissement d’un nouveau titre de voyage si nécessaire.
Dans les zones rurales éloignées, il convient de s’assurer de leur accord préalable avant de photographier des adultes ou des enfants autochtones, parfois méfiants. On peut s’attendre, dans certains cas, à une modeste demande d’argent en retour. Eviter, en particulier les fins de semaine, les groupes autochtones sous l’emprise de l’alcool

Là c’est comme dans tous les pays, même en France…

A Quito
Des ressortissants français circulant en taxi ont été victimes d’attaques à main armée en pleine journée. Les agresseurs, fortement armés et se déplaçant en voitures, obligent les chauffeurs de taxi à s’arrêter dans des rues peu fréquentées et dévalisent leurs victimes en les menaçant avec des armes à feu. En cas d’attaque, il est recommandé de ne jamais regarder dans les yeux les agresseurs et d’obtempérer à leurs ordres sans tenter de résister. Il est fortement déconseillé de passer aux abords des parcs, notamment celui de « La Carolina », une fois la nuit tombée ( en général essaie de ne pas circuler la nuit) (risques d’agressions, de vols et de viols).
De nombreuses agressions violentes intervenues dans le quartier de « La Mariscal » ont été récemment signalées. Il est donc recommandé aux touristes d’éviter ce quartier, particulièrement la nuit.

Au nord de la ville, les centres touristiques de la province d’Imbabura (notamment Otavalo, Cotacachi…) sont relativement sûrs. On constate néanmoins une recrudescence des agressions à main armée aux abords des lacs de Mojanda et Cuicocha, dans la région d’Otavalo, en particulier sur les itinéraires peu fréquentés (routes forestières).
A Guayaquil

On déplore la multiplication des enlèvements express. Il est recommandé de ne pas choisir un taxi au hasard dans la rue surtout la nuit. Il convient donc de demander aux gérants de bars, de restaurants, d’hôtels, etc., d’appeler des centrales de réservation de taxis et de faire enregistrer par l’établissement le numéro du taxi pris. Il est vivement conseillé de limiter ses déplacements au boulevard bordant le fleuve (Malecon), au quartier Santa Ana et aux rues commerçantes du centre-ville.A Esmeraldas
La sécurité est toute relative
(agressions assez fréquentes au bord de mer). Il en va de même pour les visites en bateau de la forêt de palétuviers (« manglares »). Il est arrivé que des touristes soient dévalisés par des pirates.

Dans d’autres villes touristiques, dont Cuenca, les conditions de sécurité requièrent la prudence.
Dans les Iles Galapagos

Les conditions de sécurité sont bonnes. Avant d’entreprendre une croisière ou une promenade en bateau dans les îles Galapagos, les touristes sont invités à obtenir de leur tour opérateur ou de leur agence de voyage une confirmation écrite certifiant que le navire utilisé répond bien aux normes de la Marine équatorienne en matière de sécurité.

Activité volcanique
Le volcan Tungurahua, situé à 140 km au sud de la capitale Quito, à proximité de la ville touristique de Banos, est dangereux en raison de l’émanation de gaz toxiques (voire rubrique « dernière minute »).
Le volcan Reventador, situé au nord-est de Quito, est en éruption.

Il est donc formellement déconseillé d’entreprendre l’ascension de ces deux volcans. L’activité du volcan Cotopaxi, situé à 60 km au sud de Quito, est en hausse. Il convient d’éviter les couloirs des coulées de boue signalés dans les cartes de risque accessibles à la page http://www.ambafrance-ec.org/france_equateur/spip.php?rubrique158 du site de l’ambassade de France en Equateur.
Le volcan la Cumbre, dans l’île Fernandina de l’archipel des Galapagos, est entré en éruption vendredi 13 mai 2005. Cette île est inhabitée et les seuls risques encourus sont ceux de la navigation à proximité. Pour l’instant, seul le volcan Tungurahua situé à 135 kilomètres au sud de Quito et qui domine la ville de Baños est en alerte jaune. L’activité du volcan Guagua Pichincha (dominant Quito) ne présente pas un danger immédiat ( Va donc falloir que je me dépêche pour y arriver…). Cependant, les visites à l’intérieur du cratère sont déconseillées.
Les voyageurs doivent s’informer de la situation avant leur départ soit auprès du ministère des Affaires étrangères et européennes en consultant le présent site, soit auprès de leur agence de voyage. En cas d’éruption, ils doivent s’attendre à des modifications de leur programme ou de leur itinéraire.

Risque sismique

L’Equateur est situé sur une zone d’activité sismique. Des séismes d’intensité 4 à 4,5 sur l’échelle de Richter se produisent régulièrement le long de la côte et dans la sierra. Pour obtenir plus d’information sur la conduite à tenir en cas de séisme, vous pouvez consulter la fiche réflexe de ce site qui est consacrée à ce sujet, sous la rubrique  » A savoir « .
Les recommandations de base sont les suivantes :
A l’intérieur :

S’éloigner des fenêtres, des murs extérieurs, de tout meuble, tableau, luminaire susceptibles de se renverser ;
S’abriter sous une table ou tout meuble résistant ou rester debout un encadrement de porte
A l’extérieur :
S’efforcer d’atteindre un espace libre, loin des arbres, poteaux électriques, murs ou bâtiments ;
Dans la voiture, s’arrêter au bord de la route et attendre à l’intérieur la fin des secousses.
Dans tous les cas, il faut conserver son calme, suivre les instructions données et attendre les secours, si nécessaire. Tout séisme important est suivi d’une série de secousses secondaires.

Transports
Infrastructure routière
Etat des routes moyen. Circulation difficile pendant la saison des pluies. Accidents de la route fréquents.
Approvisionnement en carburant correct, mais les voitures de location sont souvent peu fiables. (Aucun souci mon vélo ne demande que de la bouffe pour celle qui le fait avancer)
En cas d’accident (l’assurance du véhicule n’étant pas obligatoire), les procédures de négociation sont longues et difficiles et contraignent de faire appel à un avocat, afin de réduire les frais, voire le temps de détention, en général inévitable, lors de dommages corporels. Même désagréments possibles lors d’accidents avec des voitures de location.

Entrée / Séjour
Il est recommandé de déclarer correctement à l’entrée et à la sortie du pays le montant d’argent liquide effectivement détenu sur soi. En cas d’absence de déclaration ou de fausse déclaration, le voyageur peut être sanctionné par une forte amende et une peine de prison.
Passeport en cours de validité. Le visa n’est pas nécessaire pour un séjour touristique égal ou inférieur à 90 jours.
En cas de dépassement du temps de séjour autorisé en Equateur (90 jours), tout ressortissant français peut se voir placé en rétention administrative dans un centre de détention provisoire dans des conditions d’emprisonnement. Il est recommandé aux voyageurs de respecter les temps de séjour et, le cas échéant, de demander jours au ministère des Relations extérieures équatorien, avant l’expiration du délai de 90 jours, une extension de la durée de séjour autorisée.
Pour les vols internationaux, les taxes d’aéroport sont perçues une fois la procédure d’enregistrement achevée. Elles ne sont donc pas comprises dans le billet d’avion. Il convient de se renseigner sur le montant auprès de l’agence de voyage qui a délivré le billet.
Réglementation en vigueur pour l’accès des bateaux étrangers au parc national Galapagos :

1. Les bateaux étrangers non commerciaux en transit, avec moins de 10 personnes à bord, pourront visiter tous les ports habités du parc national pendant un maximum de 20 jours, délai de rigueur. Pour effectuer une visite sur les lieux touristiques, les intéressés pourront laisser leur embarcation dans le port choisi et utiliser les services d’un canot local.
2. Dans le cas où les intéressés désirent visiter des lieux touristiques situés dans une zone du parc national des Galapagos avec leur propre embarcation, ils devront obtenir, avec un préavis minimum de 60 jours, un permis d’entrée dans les eaux territoriales, à travers les organismes appropriés (Chancellerie, qui peut être relayée par une ambassade de l’ Equateur, Marine et Ministère de la Défense). A leur arrivée dans les îles, ils devront en avertir la capitainerie du port et acquitter les droits applicables. Ils devront remplir en même temps diverses formalités auprès de la police de l’immigration . Enfin, ils devront se rapprocher des bureaux du parc national pour obtenir l’autorisation d’accès. Toutes les embarcations qui désirent visiter les zones du parc dans ces conditions devront adopter un itinéraire respectant le plan de charge des sites de visite. Elles devront utiliser, par ailleurs, les services d’un guide naturalisé agréé.
3. Toutes les embarcations qui entrent aux Galapagos doivent se soumettre à des inspections de quarantaine et présenter des certificats de fumigation du dernier port visité.
4. Le changement d’équipage d’origine n’est pas permis, sauf en cas de force majeur. Les coordonnées du parc national des Galapagos sont les suivantes :
Parque Nacional Galapagos
Puerto Ayora Isla Santa Cruz
Galapagos Equateur
Tél : 00.5935.2526.189 / 2526.511.
Fax : 00. 5935. 2526.190
Mél : png@ga.pro.ec
Pour toute information complémentaire, il est conseillé de prendre contact avec l’Ambassade d’Equateur à Paris, adresses des missions étrangères en France (sur le site de la Maison des Français de l’étranger).

J’ai pas envie d’aller aux Galapagos, ai gardé les renseignements pour ceusses qui veulent y aller

Santé
Les cliniques privées ont l’obligation de prendre en charge toutes les urgences. Mais dans la pratique, elles exigent un dépôt de garantie effectué par carte de crédit avant tout traitement médical de fond. Le fait d’être affilié auprès d’une compagnie d’assistance et de rapatriement ne dispense pas du dépôt de garantie par carte de crédit, dont le plafond de dépenses doit être de 3.000$.
Des cas de dengue, de choléra, de leptospirose, de leishmaniose et de méningite cérébro-spinale sont régulièrement signalés par les autorités sanitaires dans les provinces du littoral (Guayas, Los Rios, Manabi et Esmeraldas), ainsi qu’en Amazonie. Il est recommandé d’être vigilant lors des déplacements, en particulier durant la période des pluies (propices au développement de foyers infectieux).
Paludisme

Prévention du paludisme (malaria) : maladie parasitaire transmise par les piqûres de moustiques qui impose le recours à des mesures de protection individuelle (sprays, crèmes, diffuseurs électriques, moustiquaires…) A ces mesures, peut s’ajouter un traitement médicamenteux adapté à chaque individu : il convient de s’adresser à votre médecin habituel ou à un centre de conseils aux voyageurs. Le traitement devra être poursuivi après le retour en France durant une durée variable selon le produit utilisé. Classification : Amazonie zone 3 ; ailleurs zone 1. Le paludisme est endémique au-dessous de 1500 mètres dans les provinces d’El Oro, Esmeraldas, Guayas, Manabi, Los Rios, Morona-Santiago, Napo, Pastaza, Sucumbios et Zamora-Chinchipe. Traitement préventif conseillé : Mefloquine. Quito, les Galapagos et le centre du pays ne sont pas concernés par le paludisme.
Bien qu’aucune vaccination ne soit obligatoire, on doit considérer comme indispensables : fièvre jaune, poliomyélite. L’un est fait, l’autre programmé)

Là c’est bon, vaccinée pour l’un rendez-vous pris pour l’autre

Recommandées : diphtérie, hépatites A et B.
Il existe de nombreux foyers de rage. L’approvisionnement en vaccin antirabique n’est pas toujours régulier.

Vous imaginez si après vous être ruiné pour payer ma rançon vous me récupérez en ragée ? Déjà que suis dengue..

Quito et Guayaquil disposent d’une infrastructure hospitalière d’un bon niveau mais coûteuse. Des examens approfondis et des interventions urgentes peuvent y être pratiqués.
Dans la Sierra, l’altitude impose un rythme de vie plus lent. Cette région peut être déconseillée aux personnes atteintes d’une maladie cardiaque ou respiratoire. Les malaises dus à l’altitude durent généralement de 15 jours à un mois.
Il est conseillé :
de ne pas consommer l’eau du robinet. Dans les restaurants, éviter les glaçons, les crudités, voire les fruits de mer.
de se protéger du soleil

Y a pas y prennent les voyageurs pour des simples d’esprit, ceci étant dit sous les tropiques fais toujours une réaction au soleil, même sous les chaussettes, y a que les chaussures qui jouent bien leur rôle d’écran, j’ai des boutons partout mais y grattent pas, juste je suis hideuse, l’avantage c’est que les gens avant de m’agresser faut qu’ils prennent leur courage à deux mains…

d’être vigilant face aux MST. Le sida peut être transmis lors de transfusions sanguines.
Il est recommandé de consulter le médecin traitant avant le départ et de contracter une assurance couvrant les frais médicaux et de rapatriement sanitaire.

Bin mes amis lisez bien tous les contrats, les causes d’exclusion étant tellement nombreuses que avant de vous faire rapatrier soit vous crevez soit vous guérissez…

Numéros utiles
A Quito :
Hôpital Metropolitano, Avenue Mariana de Jesus y Occidental (593) 2261.520 / 2269.030.
Hôpital Vozandes, Villalengua 267 et Avenue 10 de Agosto (593) 2262.142 / fax : (593) 2269.234
A Guayaquil :
Hôpital  » Clinica Kennedy « , Avenue San Jorge Ciudadela Nueva Kennedy (593) 04.2289.666 / 04 2399.039
Médecins agréés par l’Ambassade de France :
(en cas de problèmes de quelque nature que ce soit avec l’un de ces médecins, l’ambassade ne pourra en aucun cas être tenue responsable) ( coupable mais pas responsables, ça change…).
A Quito :

Dr. Martin Domsky, médecine générale – Complejo medico La Salud, Republica 784 y Eloy Alfaro tél : (593) 2553.206, portable 099.440.611.
Dr . René Vargas Penaherrera, chirurgie générale et vasculaire Centro medico metropolitano, av. Mariana de Jesus y calle B (OF210) tél : (593) 2463.361 2267.828 – portable : 099.844.359 .
A Guayaquil :

Dr. Antonio Matamoros, Clinica Kennedy, Avenue San Jorge 615, 2è étage face au Policentro (593) 04.228.45.24 / 04.229.29.26 / 04. 229.65.62
Dra. Virginia Miranda de Moscoso, dermatologue Miraflores, calle 2, N° 305 y Central tél. : (593) 04.220.43.04.
Pour de plus amples renseignements, vous pouvez consulter le site de l’INVS, ainsi que celui de l’OMS, qui vous renseigneront sur l’état sanitaire de ce pays, ou les sites de l’institut Pasteur de Lille et de l’institut Pasteur de Paris.

ComplémentsLégislation locale
Délits liés à la drogue
:
Les contrôles et les sanctions liés à la consommation , la détention et le trafic de drogues ont été considérablement accrus récemment par les autorités équatoriennes.
La législation équatorienne, qui s’est encore renforcée en 2002, est particulièrement sévère pour tous les délits relatifs aux stupéfiants : consommation, détention, trafic. Elle n’établit en outre aucune distinction entre drogues dites douces ou dures.
Les contrôles opérés dans les aéroports sont minutieux
et la découverte d’une dose de drogue même minime entraîne une mise en détention préventive immédiate. Les peines encourues pour transport, trafic et détention peuvent aller jusqu’à 16 ans de prison. Les conditions carcérales en Equateur (Quito comme Guayaquil) sont particulièrement difficiles.

N’étant ni consommatrice, ni dealer, pas de blème, sauf si quelqu’un en glisse dans mes bagages à mon insu…

Vous êtes tous effrayés ? Moi pas, c’est le principal…

Carte de l’Équateur

J’ai une idée (oué des fois ça arrive, si je remontais une des 3 sierras de la Colombie pour redescendre par une autre, tout en évitant Bogota (ville dangereuse), cela me permettrait :

1.      D’éviter Caracas
2.      De satisfaire à mon besoin (oué j’ai bien dit besoin, cherchez pas pourquoi, y a que les initiés qui peuvent comprendre) de descendre la Cordillière dans son intégralité
3.      D ‘arriver après la saison des pluies au Pérou tout en ne retardant pas mon voyage…

Je trouve cette idée excellente, vais regarder les conditions de sécurité en Colombie…

Pour l’Equateur donc en gros :

Ö         Quito et ses volcans
Ö         Le centre du monde (Mitad delmundo)  ‘latitude 00°00’00’’, trop génial non ? Vais vérifier les sens des syphons…( explications sur demande…)
Ö         La Cordillère orientale en évitant Bogotá, là on passe en Colombie puis au Venezuela, la Sierra Nevada de Mérida ( là on est au Vénézuela) continue à éviter Caracas, bifurque sur la Côte : Coro puis  la Serrania de Peri ja ( moitié Venezuela, moitié Colombie, puis détour ( qui vaut le coup paraît-il) à Cartagena ( Colombie), retour dans la Cordillière des Andes, soit par la Cordillera Central, soir par la Cordillera Ocidental ( on est toujours en Colombie), retour à Quito en ne prenant pas le même chemin, soit en restant dans la Cordillère, soit en passant par la forêt amazonienne, soit par la partie occidentale de l’équateur, tout dépend si il y a des routes… C’est vague ça, oui… Faut que je trouve une meilleure carte que celle que j’ai…
Ö         Et puis la route des volcans, espère en voir un en éruption, espère qu’ils ne seront pas tous interdits d’accès, ce qui m’est arrivé au Mexique (le Popocatéptel était en colère nous obligeant à prendre une mauvaise piste et à terminer l’étape de nuit, ce dont j’ai horreur). Oh là là après surfage sur le net vois que la Carretera Austral c’est l’horreur, que c’est plein de camions qui vous envoie leur gaz d’échappement et veulent à tous prix vous envoyer dans le ravin…

Voilà où j’en suis de mes réflexions…
Bisous lectrices et lecteurs… Si des fois il en reste…

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2 réponses à L’Equateur

  1. Bonjour,
    Quand on regarde les conseils de l’ambassade, on a qu’une envie c’est rester chez soi lol

    • Françoise dit :

      L’ambassade ils racontent n’importe quoi et quand on les appelle au secours parce qu’on a plus de moyen depaiement, ils vous laissent crever… Au passage, de tous les pays visités la Colombie est le plus sûr pays que je connaisse, bien plus sûr que la France… Il serait peut-être intéressant d’aller voir ce que les autres ambassades disent de la France Amitiés

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