J183 : canyon del Pato, deuxième partie

Vendredi 22 juillet 2011

La Fruteria –  Huallanca (attention il y aura un autre Huallanca, différent)

Distance parcourue : 26,47 km
Vmoy : 6,2 km/h Vmax : 25 km/h
Température : minima : 22°, maxima : 43°
Dénivelée positif : 403 m
Dénivelée négatif : 247 m
Heures sur le vélo : 4H15’51 »
Départ : je sais plus entre 8h et 9heures
Arrivée : 18 heures 10 (oui j’ai fêté mon anniversaire…)

Résumé de la journée

  • Conditions météorologiques : soleil, douceur, vent très fort l’après-midi
  • Objectif : Huallanca si possible
  • Etat de santé : bon
  • Particularités de la journée : je retrouve Daniel et Anne, nous fêtons dignement mon
    anniversaire

Article écrit en décalé et je suis fatiguée d’écrire, j’abrège :

Le canyon s’est élargi

Il faut monter, je vois un village, je me retiens de pique-niquer avant, je vais pour me poser à un restaurant, qui arrive ? Daniel et Anne, je les croyais loin devant moi, à la fruteria ils m’avaient dit les avoir vu passer vers 16 heures, je m’étais dit, ou ils ont pris un camion, ou je suis très nulle, et bin non c’est juste que les péruviens des fois ils racontent n’importe quoi… Nous décidons de déjeuner ensemble nous fêtons mon anniversaire avec un peu de bière et beaucoup de bonne humeur, nous sortons de table à 16 heures. Daniel et Anne vont aller visiter quelques villages en montagne (ils y feront la fête pendant 3 jours…), moi les villages en montagne, je viens d’y passer 15 jours, nos routes se séparent…
Je reprends la route, je sais que je vais être juste pour arriver
avant la nuit, mais ouf ça passe et je suis à Huallanca à 18h10.
Il faut dire que ça descendait mais c’est de la piste, donc je ne
peux faire de chrono et si je dérape c’est aussi que mes pneus sont trop gonfflés, c’est Daniel qui l’a dit et Daniel c’est une
référence…

Huallanca est la ville des petits hommes en orange,
oui, j’arrive à l’heure de la sortie du boulot et ici il y a une
usine hydro-électrique, la construction d’un campessimo (c’est pour loger les ouvriers) et une extraction de graviers, donc du travail pour tous. Je trouve une petite chambre d’hôtel, la douche est glacée de chez glacée mais les draps sont propres, l’eau du rio était moins froide, je lave quand même petites culottes et ma serviette, les chaussettes ce sera pour plus tard… Je vais au restau, je déjeune aux chandelles, panne de courant, ce qui est un comble pour un village qui fournit de l’électricité à la moitié du pays… Cette panne me permet d’admirer les étoiles une fois de plus. Je suis épuisée, n’ai même pas la force d’écrire mon article, je me promets de faire des pauses en altitude (l’altitude c’est pour l’usine à globules rouges…)

Maintenant des photos en vrac, je suis désolée, mais là ça devient trop difficile d’assumer tout…

Bisous tout le monde

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