Pas le moral

Deux attaques à 3 jours d’intervalle c’est dur

La dernière à coup de pierre dans la tente

Bisous tout le monde

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22 réponses à Pas le moral

  1. Il est évident Françoise que tu ne risquais rien en étant restée dans ta jolie Drôme. Aussi jolie soit-elle, aussi sympathiques soient tes amis, aussi soudée soit ta famille (enfants, frères et soeurs) aussi sympas soient tes supporters dont je fais partie, voire même très sympas, c’est un morceau de ta vie que tu as décidé de vivre et comme je te comprends. Tu ne dois pas être de celle qui avance dans la vie chargée de regrets.
    Peut-être que cette tranche de vie d’une année en AMSUD est un raccourci de ta vie depuis ta plus tendre enfance. Peut-être est-ce normal d’accumuler des événements forts depuis ton départ de Caracas. Une sorte de condensé de ta sans doute très riche vie.
    Petite requête Françoise : peux-tu peindre en fluo cette pierre que je puisse la repérer et que je ne m’attarde pas dans cette communauté (lol).
    Je t’envoie mille baisers
    A très bientôt avec la banane.
    Juan Lucas

    • Francoise dit :

      Va voir mon article coucou, le moral est remonté en flêche… jean-Luc il faut vraiment prendre ce chemin de traverse, il est trop trop bien. Un conseil, vu que tu as la même tente que moi, elle tient très bien à des trombes d’eau (même avec un trou) quand elle est bien montée, inutile de se mettre sous des hangars, et aussi je crois que c’est une erreur de la faire tenir par des pierres si on ne peut enfoncer les piquets, c’est fournir à un adversaire potentiel des munitions… Je pense que le poids de nos sacoches à l’intérieur suffisent. la communauté ils allaient évoquer le problème lors de la réunion hebdomadaire, je crois qu’ils étaient aussi ennuyés que moi… l’incident (criminel quand même car j’ai vu que le trou n’était pas du coté où je croyais qu’était arrivée la pierre, ce qui m’a sauvé c’est que j’étais en train de checher à taton ma lampe donc j’avais le bras devant ma tête, bon c’était pas mon heure, mais cette route il faut la faire, tout le tour que j’ai fait, trop trop bien, des bisous, plein), l’incident m’ a permis de connaître mieux une famille et sa communauté… Bisous tout plein

  2. véro et pol dit :

    Au mauvais endroit au mauvais moment…

    Tu t’en relèveras aidée par le hasard de rencontres plus positives.

    Dans mon petit village belge, 22 maisons ont été « visitées » de nuit avec leurs habitants à l’intérieur…

    Certes n’est-ce pas à un « jet de pierres » des ALDEAS que tu parcours.

    Peut-être, le temps de quelques étapes convient-il de planter la tente dans la cour, l’arrière cour de campesinos hôtes,
    voire de demander le gîte en cas d’inévitable bivouac?

    Le soleil se lève demain sur un autre jour

    • Francoise dit :

      J’ai fait une telle route d’enfer avec des bivouacs magiques et des gens super sympas que j’ai tout oublié… j’ai pris la E40 qui relie Mendes à Cuenca, trop trop fort, trop trop bien, je ne sais si c’est celle que vous aviez prise ou si vous avez prise l’autre, celle qui passe par Limon, besos

  3. Monica dit :

    Heureusement que tu n’as pas choisi Quito comme point de départ, tu aurais commencé ton périple par des mésaventures. En partant de Caracas et en traversant ensuite la Colombie tu as une mine d’expériences inoubliables, derrière toi. Tu sais les attaques et les vols ont lieu sur toute la planète même dans des capitales soit-disant civilisées, sécurisées ( comme Paris ). Sois confiante, mais prudente, pour installer ton bivouac . La suite ne peut-être que meilleure.
    Plein de besos a notre téméraire Abuela
    Tu as toujours ton fanion sur le vélo ?

    • Francoise dit :

      Oué j’ai toujours le fanion… Je suis un peu plus prudente… La Colombie m’a tellemnt fascinée et je m’y suis sentie en telle sécurité que je suis devenue imprudente… Reste que nous les cyclotouristes somme fragiles car rien ne nous protège… Mais là j’ai rencontré des équatoriens formidables, alors ça efface… bisous tout plein, et le fanion j’en prends grand soin…

  4. ARDUIN-BOREL Marie-héléne dit :

    Bonsoir, Françoise,

    Je rentre juste de quelques jours en Bretagne, et je prends connaissance de tes mésaventures.
    Je suis partie le 3 mai, et j’ai « sauté » quelques étapes, mais les dernières que je viens de lire, m’ont
    laissé un peu surprise, de ce qui t’arrive, mais tu il fait face avec courage. Soit prudente à l’avenir,
    même en ayant bien caché tes « trèsors », le tourisme amene son lot d’inconvénients, je vois que Mado,
    s’occupe de toi, et ta CB.
    Je vais me coucher, car nous sommes partis bien tôt ce matin, j’ai les yeux qui se ferment tous seuls, je reprendrai
    mon blabla demain, Bisous,

  5. ACHARD dit :

    SALUT BON COURAGE JE SAIS QUE TU EST TRES FORTE BISOUS

  6. ACHARD dit :

    TU EST CELEBRE DANS LE DIOIS TU AS EUT UN SCOOP DANS LE DAUPHINE

    • Francoise dit :

      Oué je vais essayer de mettre l’article sur mon blog, ou plutôt je vais charger mon webmaster de le faire. je pense souvent à toi, en ce moment tu dois bosser comme un forcené pour nous faire une bonne clairette de Die, bisous à toi, Annick et les enfants

  7. françoise TS dit :

    je comprends ton abattement, pourquoi s’ attaquer à 1 paisible cyclotouriste aussi sympa et courageuse?
    je suis sûre que ce ne sera bientôt plus qu ‘1 mauvais souvenir…je continue à me régaler à te suivre au fil des jours,mieux que connaissance du monde !!!!reste prudente !
    cet après-midi j’ enfourche ton ancien vélo, mais je ne te dirai pas le nombre de km parcourus, j’ aurais l’ air ridicule….
    j’ attends ton retour avec impatience( mais ne dois pas être trop pressée), pour me refaire 1 we chez toi,c’ est trop top!
    bises;françoise

    • Francoise dit :

      Ce n’est plus qu’un mauvais souvenir, le compliqué c’est pour la carte bancaire…
      T’as intérêt à t’entraîner car le prochain we chez moi c’est les vingt virages en vélo, et t’as de la chance je te dispense du chargement… Bisous

  8. Jean dit :

    Souviens-toi qu’en 1963 lors de la première année aux Guibertes, on nous lançait des pierres sur la maison car nous étions des étrangers. Ils ont fini par nous adopter.
    Pour les indiens d’Amazonie, c’est probablement pareil.
    Il faudrait peut-être aller voir le chef du village et demander autorisation et protection.
    J’ai eu le même genre de problème en Côte d’Ivoire alors que je photographiais la forêt.
    Bises de ton frère ainé

    • Francoise dit :

      Oui, je me souviens, ce n’est pas la permière pierre que je reçois, mais celle-là était très grosse, la communauté a été prévenue, d’ailleurs ils m’ont accueillei chez eux le reste de la nuit vu que j’ai réveillé tout le monde et ils étaient ennuyés… allez je suis vivante… j’avais demandé autorisation, ils avaient pensé à me protéger, avaient mis mon vélo chez eux, m’ont dit qu’ils avaient hésité pour moi et regretaient… Bon je suis vivante… tet enragée…
      Bisous

  9. Marie-Do dit :

    plus de nouvelles depuis cette attaque de pierres j’espère que tout va bien.
    Pour ta CB c’est en attente son trajet pour l’Amérique du Sud va prendre du temps (c’est bien connu, les facteurs se déplacent à vélo! et la traversée de l’atlantique a vélo c’est pas facile…), ne vaudrait-il pas mieux te l’envoyer au Pérou?
    bisous
    ta soeur

    • Francoise dit :

      Tout va super bien, je suis en train de devenir enragée…
      Je t’envoie par mail les coordonnées pour ma carte bancaire…
      Je suis tes conseils, me fais nourir, vis dans ma tente, me lave plus, lave plus rien, les uilottes un jour dans un sens, un jour dans l’autre…
      Bisous
      Ta soeur

  10. Monica dit :

    Nous venons de franchir les 1000 visites sur Paris ! Super !
    Mais toi où es-tu belle Abuela ?
    On commence à s’inquiéter. Les connexions internet sont peut-être rares dans la foret amazonienne.
    Vite des nouvelles de la foret,…
    Besos

    • Francoise dit :

      Je n’étais plus dans la forêt amazonienne mais dans une super montagne perdue de la Cordillère des Andes, les villages étaient absents les maisons très rares et la route coupée par un rio qui a tout emporté sur son passage et surtout la moitié de la montagne qui est partie, ouf j’étais pas dessous… Mais j’étais super bien, dans la nature, le beau et le silence… Bisous tout plein et courage à toi

  11. ARDUIN-BOREL Marie-héléne dit :

    Bonsoir, à ceux qui me liront,

    Je n’ai aucune nouvelle de Françoise, depuis le 21 mai et je suis un peu inquiète, qui peux me donner de ses nouvelles.
    Mado ou ses enfants. merci bisous

    • Francoise dit :

      Je suis vivante, juste là où j’étais il n’y avait que quelques rares maisons, donc pas d’internet, pas de réseau, donc pas de nouvelles, merci Marie-hélène de t’inquiéter de moi, bisous à toute ta famille

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